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Qualité du cadre de vie, entre services publics et collectifs : portée de l’action associative

Publié par , le 6 mars 2007.





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L’AITEC a réalisé en mars 2006, dans le cadre de la réponse à l’appel d’offres du PUCA "polarisation sociale de l’urbain et services publics", une étude intitulée :

Qualité du cadre de vie, entre services publics et collectifs : portée de l’action associative. Observations en milieu urbain et questionnements généraux

Associations et services publics et, plus généralement, associations et Etat -ou ses émanations locales- entretiennent des relations souvent complexes, rarement sans équivoques, en tout cas jamais neutres. Les associations interviennent en opposition, en interlocuteur, en parallèle, en substitut, en palliatif ou conjointement avec les services et pouvoirs publics.

Leur rôle d’interpellateur et de garde-fou pour améliorer le service ne peut masquer l’existence d’associations factices ou de délégation de service public n’en portant pas le nom. L’indépendance financière des associations contribue sans aucun doute à leur indépendance politique, mais là encore leurs relations aux pouvoirs publics sont parfois peu lisibles.

Compétences et expertise associatives ne sont plus à démontrer dans certains domaines, notamment les actions menées dans les quartiers dits sensibles. Les associations peuvent revêtir la fonction de contre-pouvoir et faire émerger une citoyenneté-citadinité renouvelée. Favorisant l’approfondissement du tissu social local, elles donnent à penser qu’elles contribuent à une ambiance urbaine de qualité, bien que cette impression soit difficilement mesurable.

En s’interrogeant globalement sur les impacts sociaux et politiques de leurs activités, les associations socio-civiques ont un rôle à jouer en terme d’évolution et de modernisation du service public.

Documents à télécharger

  Annexes   Rapport final