Du 9 au 12 novembre, la Coalition Européenne d’Action pour le droit au logement et le droit à à la ville (CEA) tiendra sa prochaine réunion à Paris. Pendant 4 jours, des collectifs en lutte, membres ou non de la CEA, viendront de 20 pays européens différents pour élaborer des stratégies communes, échanger leurs expériences et préparer leurs campagnes et actions communes pour défendre le droit au logement et le droit à la ville pour tous.tes !
Alors que les fonds d’investissement, les (...)
Révélations : Le document que la Commission européenne propose afin de ressusciter l’accord UE-Mercosur a fuité dans la presse et l’économie générale de l’accord reste totalement inchangée.
Les organisations de la société civile dénoncent l’opacité, le secret et le manque de transparence avec lesquels la Commission européenne tente de ressusciter l’accord UE-Mercosur
Le 15 février de 18h à 20h la Coalition Européenne d’Action pour le droit au logement et à la ville (EAC), Halem et le DAL a organisé un webinaire (en anglais) au sujet du MIPIM avec Antoine Guironnet, sociologue et auteur de l’ouvrage « Au marché des métropoles ».
Déclaration des organisations paysannes européennes et sud-américaines contre l’accord UE-Mercosur.
OFFICIEL : le retrait de la France du Traité sur la Charte de l’Energie prendra effet à compter du 8 décembre 2023 (délai d’un an).
Sans-logis, locataires, hébergé·e·s, squatteur·se·s, femmes et familles en précarité, salarié·e·s, chômeur·se·s, étudiant·e·s, précaires, et organisations qui les défendent, unissons-nous et mobilisons-nous !
La France a officiellement notifié sa volonté de retrait du Traité sur la charte de l’énergie (TCE), qui sera effective dans un an. Une vingtaine d’organisations françaises de la société civile appellent le gouvernement à oeuvrer pour un retrait conjoint et coordonné de l’ensemble des Etats européens et de l’UE de ce traité si nocif.
La Commission européenne a annoncé ce vendredi 9 décembre avoir finalisé les négociations pour un nouvel accord de libéralisation du commerce et de l’investissement entre l’UE et le Chili. Présenté comme un levier de croissance économique et d’accès privilégié pour l’UE aux matières premières exploitées au Chili (lithium, cuivre...), cet accord vient approfondir la mondialisation néolibérale et productiviste pourtant source d’aggravation des nombreuses crises actuelles et vivement rejetée (...)
210 organisations de la société civile appellent les gouvernements et les décideurs européens à s’opposer à la démarche de la Commission européenne visant à accélérer la ratification et la mise en oeuvre les accords de libéralisation du commerce entre l’UE et l’Amérique latine en contournant les parlements nationaux et en supprimant le droit de veto des États membres : « Non à ce coup de force antidémocratique ».