Pétition des collectifs du permis de Montélimar avec les collectifs contre l’exploration et l’exploitation des gaz et pétroles de schistes et de couche.
Cette infographie produite par l’Aitec anticipe d’une part les conséquences sociales, économiques et environnementales du TAFTA sur une commune française ordinaire de 3 000 habitants. Elle expose d’autre part un visage alternatif de cette même ville, transformée, dans un futur proche, par ses politiques pionnières de transition sociale et écologique.
Sans le savoir, des millions de consommateurs achètent des téléphones portables ou ordinateurs fabriqués à partir de minerais dont le commerce finance des milices ou groupes armés, à l’origine de violations de droits humains à grande échelle. On appelle ces minerais les « minerais des conflits » ou « minerais du sang ».
Le 27 octobre, les représentants des gouvernements de l’Union européenne vont débattre d’un projet de règlement sur la traçabilité des minerais issus des zones de conflit dits « minerais du sang ». Alors qu’à cette occasion la France devra présenter pour la première fois sa position sur ce projet européen, un sondage CSA paru ce 25 octobre révèle que 83% des Français souhaitent que la France se prononce en faveur d’une législation contraignante.
Le projet dans lequel s’inscrit cette exposition a pour objectif de faire comprendre le lien entre les modèles européens de (sur-)consommation et de (sur-)production de matières premières, d’une part, et de l’autre les problèmes de pauvreté, destruction de l’environnement et de conflit dans les pays riches en ressources naturelles où les populations sont victimes de cet « extractivisme ».
Le 12 juin 2015, l’Aitec a organisé une table ronde sur les questions de Climat, Commerce et Droit à l’environnement. Retrouvez les différentes interventions et les débat ci-dessous.
Cette pièce aborde les enjeux de changement climatique, du pouvoir des multinationales et de la mobilisation citoyenne, dans le cadre de la conférence climat (COP21) qui se tiendra à Paris fin novembre 2015, et de la campagne Stop Mad Mining qui défend la réduction de la production et de la consommation des matières premières, ainsi que la mise en place de réglementations visant à rendre les multinationales responsables de leurs activités.
Un an après le vote historique du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies (UNHRC) pour la création d’un groupe de travail intergouvernemental (IGWG) ayant pour mission de lancer le processus de négociation sur le traité de l’ONU pour les multinationales (juin 2014), les mouvements sociaux sont retournés à Genève du 6 au 10 juillet 2015.
L’Aitec, grâce au programme Échanges et Partenariats, envoie régulièrement des volontaires en mission d’appui auprès de partenaires européens et internationaux, dans le but de renforcer des chantiers de travail communs. Les trois volontaires de l’Aitec, partis en Tunisie, Belgique et Allemagne début 2015 reviennent sur leurs expériences.
Cette table ronde a pour objectif d’échanger les expériences et les actions de différents mouvements et organisations, afin de mieux comprendre les articulations existantes entre politiques commerciales d’une part et régime extractiviste et changement climatique d’autre part.