La Commission européenne et plusieurs Etats-membres de l’UE souhaitent profiter de l’élection de Lula au Brésil pour ressusciter l’accord de libéralisation du commerce entre l’UE et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay). Depuis 2019, ce projet d’accord avait de fait été gelé en raison de la mobilisation de la société civile dénonçant ses conséquences tant sur le plan écologique et social, qu’en termes de violations des droits humains, et en raison de la situation politique au Brésil. Mais le processus de finalisation et de ratification de l’accord va reprendre au premier semestre 2023. Le collectif Stop CETA-Mercosur (https://www.collectifstoptafta.org/), auquel participe l’Aitec, appelle les organisations de la société civile, les citoyennes et citoyens, les collectivités territoriales et les élus à se mobiliser pour l’empêcher.
Déclaration des organisations paysannes européennes et sud-américaines contre l’accord UE-Mercosur.
OFFICIEL : le retrait de la France du Traité sur la Charte de l’Energie prendra effet à compter du 8 décembre 2023 (délai d’un an).
La France a officiellement notifié sa volonté de retrait du Traité sur la charte de l’énergie (TCE), qui sera effective dans un an. Une vingtaine d’organisations françaises de la société civile appellent le gouvernement à oeuvrer pour un retrait conjoint et coordonné de l’ensemble des Etats européens et de l’UE de ce traité si nocif.
"C’est un moment historique pour le climat : c’est l’une des toutes premières fois que des règles ou institutions nés avec la mondialisation sont officiellement reconnues comme antinomiques avec la lutte contre le réchauffement climatique."
Rencontre sur l’accord UE-Mercosur le mardi 15 novembre.
Après l’Italie (2016), l’Espagne, les Pays-Bas, la Pologne, la Slovénie et la France, c’est désormais l’Allemagne qui a annoncé ce vendredi 11 novembre vouloir sortir du Traité sur la charte de l’énergie (TCE). L’ensemble de ces pays représentent plus de 70 % de la population européenne. De quoi justifier que l’UE se retire dans son ensemble du TCE, ce traité qui retarde, renchérit ou bloque la transition énergétique.
Ce vendredi 21 octobre, Emmanuel Macron a annoncé que "la France avait décidé de se retirer du Traité sur la charte de l’énergie". Ce qui suit est une analyse plus détaillée de la portée de cette décision et des défis qui restent à relever pour que cette décision soit pleinement satisfaisante.
Ce vendredi 21 octobre, Emmanuel Macron a annoncé que "la France avait décidé de se retirer du Traité sur la charte de l’énergie", ce Traité qui retarde, renchérit ou bloque la transition (...)
C’est une excellente nouvelle : suite à des années d’alertes, de sensibilisation et de mobilisation de la société civile, auxquelles le collectif national Stop CETA Mercosur et ses organisations membres ont pleinement pris leur part, Emmanuel Macron vient d’annoncer que "la France a décidé de se retirer du Traité sur la charte de l’énergie
Plus d’une trentaine d’organisations de la société civile écrivent à plusieurs ministres du gouvernement pour les appeler à ce que la France se retire au plus vite du Traité sur la charte de l’énergie