Un long hiver en ces jours de pandémie est derrière nous, mais maintenant le printemps est arrivé. C’est l’heure des rêves et des visions, l’heure de la protestation et de la résistance. Luttons ensemble pour le droit au logement pour touTEs : Rejoignez-nous à la Journée d’actions pour le logement les 27 et 28 mars 2021 !
Du 2 au 5 mars 2021, se tient le premier cycle de négociations pour l’année 2021 du processus de "modernisation" du Traité de la charte de l’énergie (TCE) : à cette occasion, l’Aitec publie un décryptage de la position et des propositions de la Commission européenne.
Les promoteurs du Traité sur la charte de l’énergie multiplient les approximations et contre-vérités pour sauver ce traité si controversé qui protège les pollueurs des politiques climatiques ambitieuses.
Les organisations signataires de ce communiqué s’opposent au projet destructeur « Hercule » de scission du groupe EDF en 3 entités.
Méconnu, le Traité sur la charte de l’énergie est utilisé par les multinationales des énergies fossiles pour dissuader ou empêcher les politiques de lutte contre le réchauffement climatique qui vont à l’encontre de leurs intérêts particuliers. Des dizaines d’ONG en Europe mènent campagne pour que l’UE et les Etats-membres en sortent ! A vous de jouer en signant cette pétition.
Ce jeudi 4 février, l’entreprise multinationale allemande de l’énergie RWE a annoncé poursuivre les Pays-Bas pour la décision de sortir du charbon d’ici à 2030. Fruit de la mobilisation du mouvement climat hollandais et d’une décision de justice historique (affaire Urgenda), cette politique climatique est aujourd’hui remise en cause.
Le collectif national Stop CETA-Mercosur appelle le gouvernement à abandonner son double discours consistant à dire « Non » à Paris et à négocier à Bruxelles pour sauver l’accord. Il reprendra dans les jours prochains ses actions de mobilisation en ce sens
À l’automne 2020, la Commission européenne et la présidence allemande de l’UE n’ont pas été en mesure de finaliser l’accord UE-Mercosur et ouvrir le processus de ratification. Cette première victoire n’a pourtant pas enterré ce projet d’accord. La Commission, soutenue par certains Etats-membres de l’UE favorables à l’accord, et avec le consentement de certains autres, dont la France, qui souscrivent à l’idée de le modifier à la marge, multiplie les initiatives pour sauver l’accord UE-Mercosur.
"Nous voulons en outre que la présidence portugaise fasse passer l’intérêt général avant l’intérêt des entreprises multinationales et qu’elle impose la transparence et la responsabilité des élu·e·s."
Alors que la Commission européenne et les ministres du commerce des pays de l’UE veulent sauver le projet d’accord UE-Mercosur plutôt que l’abandonner (lire ici), près de 200 économistes de nombreux pays expliquent dans cette lettre ouverte combien les données utilisées pour justifier cet accord sont fragiles et largement infondées. Ils appellent la Commission à réaliser une étude d’impact plus sérieuse.