Plus de 100 ONG, syndicats et associations, dont 22 françaises, interpellent les gouvernements et parlementaires de l’UE sur les négociations en cours entre l’Union européenne et les Etats-Unis : la Commission est-elle sur le point de brader les réglementations sanitaires et agricoles européennes, comme l’a laissé entendre son commissaire au commerce Phil Hogan, pour satisfaire les intérêts des Etats-Unis ? Alors que le salon de l’agriculture ouvre ses portes, Emmanuel Macron, qui s’était opposé sans succès à l’ouverture de ces négociations, devrait expliciter publiquement comment il entend repousser cette menace.
Dans une déclaration publiée le 10 février 2020, 68 organisations de toute l’Europe demandent instamment aux membres du Parlement européen de ne pas ratifier les accords de libre-échange et d’investissement entre l’Union européenne et le Vietnam qui seront votés en plénière le 11 février. Elles déclarent que les accords UE-Vietnam ne répondent pas aux défis urgents auxquels l’UE et le Vietnam sont confrontés et qu’ils ne sont pas compatibles avec un "Green Deal" qui ferait de l’action écologique une véritable priorité. Alors que ces accords de commerce et d’investissement sont les premiers à être soumis au nouveau Parlement européen, ces organisations posent la question : "en 2020, pouvons-nous encore ratifier des accords commerciaux avec des pays qui ne respectent pas les droits humains et sociaux et qui ne respectent pas les libertés fondamentales" ?
Alors que le vote sur le CETA n’est toujours pas inscrit à l’ordre du jour du Sénat, les commissions des affaires européennes, des affaires étrangères et des affaires économiques vont auditionner Isabelle HUDON, ambassadrice du Canada en France, sur la mise en oeuvre de cet accord, ce mercredi 5 février 2020 à 16h30. Le collectif Stop CETA qui mène depuis des années, avec d’autres organisations, un inlassable travail d’interpellation, de plaidoyer et de mobilisation à ce sujet, interpelle les Sénatrices et Sénateurs dans le courrier suivant afin de rappeler combien "le CETA fait peser de lourdes menaces sur le monde agricole, la santé, l’emploi, les services publics, la démocratie ou encore l’urgence climatique".
Les 46 organisations françaises membres de cette campagne ont écrit au Ministre de l’Europe et des Affaires Etrangères, Jean-Yves Le Drian, le 13 janvier dernier, pour le rencontrer afin de l’entretenir de ces exigences collectives et lui remettre la pétition. Nous attendons sa réponse.
L’AITEC apporte son soutien total et inconditionnel aux ami.e.s du DAL qui depuis le 2 janvier dernier ont réquisitionné un bâtiment vide de 2500m2 dans le 2ème arrondissement de Paris appartenant au groupe hôtelier multinational “CitizenM”.
Ce mardi 28 avril, la Commission européenne a annoncé avoir finalisé des négociations en matière de commerce et d’investissement avec le Mexique. Alors que la pandémie de coronavirus révèle au grand jour les fragilités économiques, sociales et sanitaires engendrées par la mondialisation, et que chaque jour des voix s’élèvent pour appeler à « produire davantage en Europe », la Commission poursuit, comme si de rien n’était, son agenda agressif d’approfondissement de la mondialisation néolibérale en négociant des accords à tour de bras. Le collectif Stop Tafta/Ceta, avec ses partenaires appelle à cesser immédiatement ces négociations et à procéder à une relocalisation écologique et solidaire des activités économiques.
Emmanuel Macron recevra pour la troisième année consécutive plus d’une centaine de dirigeants de multinationales au château de Versailles pour le sommet "Choose France", ce lundi 20 janvier 2020. Les organisations de la campagne "des droits pour les peuples, des règles pour les multinationales" entendent rappeler que l’heure est à la régulation des activités des multinationales au nom de l’intérêt général.
Ce mercredi 18 décembre après-midi, vous êtes invités à vous positionner en séance plénière du Parlement européen sur la compatibilité de l’accord de commerce UE-Mercosur avec la proposition de la Commission européenne pour un "Green Deal".
Par ce message, nous voudrions vous rappeler combien cet accord de commerce n’est pas, et ne peut pas être, compatible avec une politique résolue et ambitieuse en matière de lutte contre le réchauffement climatique.
Plus de 280 organisations de la société civile, dont 25 organisations françaises réclament aux Etats membres du Traité sur la Charte de l’énergie, dont la France, de mettre fin aux protections dont dispose le secteur des énergies fossiles, alors qu’un processus de révision de ce Traité débute ce 11 décembre à Bruxelles.
rassemblement "village de l’habitat léger" - Mardi 19 novembre à partir de 17h place Edouard Herriot